samedi 21 avril 2018

Fiorano/Arese/Cunéo


Samedi 21 avril

Après une nuit perturbée par les moustiques entrés dans le fourgon à la faveur des aérations de la soirée pour faire chuter la température, j’ai été réveillé, non pas par la circulation comme je l’imaginais mais par le coq. En effet, en ce samedi matin, les voitures ne circulaient guère dans cette zone plutôt industrielle par contre, je me suis souvenu avoir lu sur park4night qu’un coq faisait office de réveil matin.

Cette journée a principalement été tournée vers mes premières amours, l’automobile qui, par la même occasion, m’a permis de vivre une bonne partie de ma vie professionnelle.

A l’approche du musée Ferrari, les véhicules de la marque sont légion, le long des trottoirs et dans les rues, puis c’est ce bus




Et enfin, l’entrée, rien que pour moi (j’ai un peu triché en la prenant à la sortie car à l’heure de l’ouverture il y avait la queue !)


J’y ai pris beaucoup de photos que je mettrai dans un album spécifique ultérieurement, voilà juste un petit extrait



Celle que j’ai failli acheter au milieu des années 80, alors que personne n’en voulait parce qu’elle était motorisée par un V6




Et une devise du « commendatore » qui pourrait donner à réfléchir aujourd’hui où la main d’œuvre est considérée seulement comme un coût ou une charge.


Ce musée est quand même relativement petit, donc écoutant la suggestion, toujours d’un lecteur assidu de ce blog, j’ai réenfourché ma fringante monture pour deux heures de route et visiter à Arese le musée Alfa Roméo.

L’entrée est plus design


Là encore beaucoup de photos donc je me contenterai de celle-là, un condensé de ma jeunesse.


Comparativement au musée Ferrari, celui-là est beaucoup plus grand, les voitures mieux mises en valeur voire quelquefois scénarisées, un régal.



L’après-midi étant bien avancé, j’ai repris la route pour mon étape du soir, Cunéo. Cela m’a permis d’admirer les Alpes sous la neige.




Je ne connaissais Cunéo que de nom parce qu’il y a une usine Michelin (on a les références que l’on peut !!) et j’avais choisi cette ville parce que les utilisateurs de Park4night ne faisaient que des compliments sur l’aire gratuite aménagée en bas de la ville. Cela m’avait attiré aussi parce que naivement je pensais que mon fourgon avait un convertisseur permettant de disposer à bord du 220 V qui aurait alimenté la tondeuse que j’utilise une fois par semaine pour ma pilosité faciale selon une recette de S.Gainsbourg. Cette recette permet d’entretenir un look « barbe négligée » qui, aux dires de mes nombreuses admiratrices, m’irait bien.

Bref, lorsque je suis arrivé sur ce parking, j’ai vu au fond une aire spéciale camping-car avec 8 ou 10 places et une seule libre où je me suis inséré. Par acquis de conscience j’ai tout de suite essayé le branchement qui s’est avéré ne pas fonctionner. Sans chercher à en savoir plus, me sentant coincé entre deux véhicules et n’aimant pas la promiscuité, je suis allé m’installer sur le parking « normal ».

Pour revenir à Cunéo, vu ce que j’en connaissais, j’imaginais une ville industrielle et, quelle a été ma surprise c’est une grande ville animée, avec une place centrale




D’où partent des rues commerçantes pleines de monde à cette heure de la journée et dans les rues avoisinantes de bien belles bâtisses





En principe c’est ma dernière nuit en Italie, je vais maintenant regarder de près mon trajet de retour en France

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