mercredi 1 mai 2019

25 AVRIL


Ce matin, nous avons été réveillés vers 7h à la fois par la luminosité et le passage, aussi bien de piétons que de voitures, sur la route le long de laquelle nous étions garés.

En plein petit déjeuner, le gardien de l’église est venu nous rendre visite… malgré l’obstacle de la langue, je lui ai expliqué que nous allions partir sous peu et il est reparti satisfait.



Vers 8 heures, nous avons repris le chemin de la frontière, sous un ciel dégagé vers Briceni, en espérant que cette tentative soit la bonne.

Les formalités ne furent pas trop longues, un des douaniers Ukrainiens, le chef apparemment, parlant Anglais… côté Moldave, la jeune femme chargée de nous faire payer le visa parlait un  peu Français car son mari travaille à Nantes.

Etait-ce le plaisir de fouler les terres Moldaves, mais tout nous semblait plus joyeux, plus accueillant qu’en Ukraine de Briceni que nous n’avons fait que traverser à Lipcani où nous avons arpenté le marché, coloré où l’on peut trouver de tout (nourriture, outillage, vêtements…) souvent posé à même le sol.

Ce matin, nous avons été réveillés vers 7h à la fois par la luminosité et le passage, aussi bien de piétons que de voitures, sur la route le long de laquelle nous étions garés.

En plein petit déjeuner, le gardien de l’église est venu nous rendre visite… malgré l’obstacle de la langue, je lui ai expliqué que nous allions partir sous peu et il est reparti satisfait.



Vers 8 heures, nous avons repris le chemin de la frontière, sous un ciel dégagé vers Briceni, en espérant que cette tentative soit la bonne.

Les formalités ne furent pas trop longues, un des douaniers Ukrainiens, le chef apparemment, parlant Anglais… côté Moldave, la jeune femme chargée de nous faire payer le visa parlait un  peu Français car son mari travaille à Nantes.

Etait-ce le plaisir de fouler les terres Moldaves, mais tout nous semblait plus joyeux, plus accueillant qu’en Ukraine de Briceni que nous n’avons fait que traverser à Lipcani où nous avons arpenté le marché, coloré où l’on peut trouver de tout (nourriture, outillage, vêtements…) souvent posé à même le sol.



 
Comme souvent, comme en Ukraine, les chiens sont en liberté et ne se cassent pas la tête.

 Les moyens de transport sont hétéroclites et se cottoient sur les routes sans problème ????
 
En chemin vers Timova, sur une route pittoresque, nous avons aperçu cette maison au caractère un peu prétentieux !!!

 
Nous avons mangé sur les hauteurs de cette bourgade, avant d’en arpenter les rues ou plutôt les sentiers.

Au chapitre des moyens de transport, de vieilles motos 2 temps attelées à un side avec chauffeur « d’époque »


 
L’attraction de cette bourgade, difficile à trouver, une vieille église en bois du 17 éme siècle.

Au retour vers le camion, une dame que nous saluions, comme toutes les personnes rencontrées, nous a répondu en Français, langue qu’elle enseigne dans le village voisin.


 
Après cela, nous sommes passés par Edinet qui n’a pas vraiment retenu notre attention, même si c’est une petite ville très arborée.

Finalement, nous avons atterri pour la nuit à Brinzeni pour faire demin la route des récifs Coraliens.

Nous avons refait le plein d’eau au puits du cimetière…. Il semble que dans les villages l’approvisionnement en eau se fait de cette façon.

Chaque village semble avoir une alimentation qu’il faut repérer car peu voire pas du tout signalée… ici ça ne fait pas exception mais le propriétaire est charmant et nous achetons pour une bouchée de pain de quoi subvenir à quelques repas en nourriture locale.

Nous sommes posés, au pied d’un monticule sur lequel se dresse en monument laissé à l’abandon, à la gloire de morts de la seconde guerre mondiale.


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fin du voyage

 Voilà, après 7 semaines en Irlande et un peu plus de 6000 kms, nous sommes rentrés hier soir. la journée de mardi s'est passée rapideme...